L’idée peut sembler miraculeuse. Pendant un an et demi, les victimes des attentats du 13 novembre sont invitées à tester une thérapie innovante : en couplant un médicament et une psychothérapie, les patients qui souffrent d’un traumatisme pourraient mieux surmonter leurs angoisses, mieux gérer le choc émotionnel. Un an après le drame, l’expérience n’en est qu’à ses débuts. 20 Minutes a interrogé Bruno Millet, psychiatre à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière qui coordonne l’expérience Paris Mémoire Vive dans les 18 centres de l’Assistance Publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP) qui y participent.
Le psychiatre Bruno Millet, coordinateur de l'expérience qui propose aux victimes des attentats une thérapie associant médicament et psychothérapie fait un point d'étape...