Un an après les attentats de Paris et Saint-Denis, 600 victimes sont encore suivies pour des troubles psychologiques. L’organisation des soins est difficile.
Les attentats de Paris ont laissé des plaies à vif. Près d’un an s’est écoulé depuis la première explosion à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) et le premier coup de feu à Paris. L’attaque, d’une ampleur inédite en France, a coûté la vie à 130 personnes. 413 autres ont été blessées. Pour la plupart, les blessures relèvent du passé. Mais 20 victimes doivent toujours se rendre régulièrement à l’hôpital. D’autres séquelles sont invisibles et bien plus nombreuses. 600 patients sont encore « suivis pour troubles psychologiques », a annoncé Juliette Méadel, secrétaire d’Etat chargée de l’Aide aux victimes, sur France 2.
>> Lire la suite de l'article sur le site de Pourquoi Docteur