À peine 10 mois après les attaques de Charlie Hebdo, de Dammartin-en-Goële, et de l’hypercacher, le SAMU et la brigade des sapeurs pompiers de Paris (BSPP) ont à nouveau affronté l’horreur au cœur de Paris, et à une échelle bien plus grande, dans la nuit du 13 au 14 novembre. Ils ont appliqué les enseignements des événements de janvier, mais aussi ceux des attaques par arme de guerre menées contre les civils dans le reste du monde depuis plusieurs années.
>> Lire l'article paru le 19 Novembre 2015 sur Le Quotidien du Médecin