Aucun hôpital n’a été saturé, ni désorganisé le soir des attentats du 13 novembre a affirmé Martin Hirsch, directeur général des hôpitaux de Paris (APHP), lundi 29 février, à l’Assemblée nationale. Il reconnaît néanmoins que certains blessés ont pu être pris en charge avec retard dans des périmètres sécurisés par la police, comme le relate l'article du journal La Croix paru le 01 Mars 2016.