L’objectif : diviser par deux le nombre d’amniocentèses pratiquées pendant la grossesse. L’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) a annoncé ce jeudi qu’elle allait donner la possibilité à davantage de femmes enceintes de subir un test ADN de diagnostic de la trisomie alternatif à cet examen dit « invasif, qui comporte des risques de fausses couches et d’accouchements prématurés ».
Une généralisation rendue possible par l’ouverture mardi d’une plateforme automatisée. Le dépistage sera confié à des robots, permettant ainsi de réaliser un plus grand nombre de ces tests innovants capables de repérer la trisomie 21 mais aussi les trisomies 18 et 13.