Nous ne sommes pas égaux face aux traitements du cancer et cela dépendrait en grande partie de notre flore intestinale... C'est la conclusion surprenante d'une étude française menée par des chercheurs de l'Assistance publique - Hôpitaux de Paris, de l'Institut Gustave Roussy et de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm).