La formation dispensée par l'AP-HP, mise sur pied avec les huit Samu d'Île-de-France, fait partie des dix agréées par le ministère de la Santé. C'est la ministre Agnès Buzyn qui avait annoncé leur mise en place après l'affaire Naomi Musenga, du nom de cette jeune femme décédée après avoir été raillée par une opératrice du Samu de Strasbourg qui n'avait pas pris son appel au sérieux. « Les événements douloureux servent parfois des causes nobles, souligne l'un des formateurs, Luc Picherit. Le but de cette formation, c'est que ça ne se reproduise pas. »
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