Ces tumeurs font partie de la grande famille des gliomes, les tumeurs cérébrales les plus fréquentes, soit environ 3.000 nouveaux cas par an en France. Et une fois de plus, c'est la biologie moléculaire qui est venue en aide aux chercheurs. Plusieurs équipes françaises, dont celle du Pr Marc Sanson, au sein de l'hôpital Pitié-Salpêtrière, AP-HP y travaillent. Ils ont mis en évidence des anomalies moléculaires particulières touchant le gène FGFR3 (Fibroblast Growth Factor Receptor 3) impliquées dans la croissance tumorale.
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