Le Comité de Paris, créé en 1956 et fédéré au sein de la Ligue contre le cancer (103 Comités en France), est une association à but non lucratif régie par la loi de 1901 et Reconnue d'Utilité Publique, reposant sur la générosité du public et sur l’engagement de ses bénévoles et salariés. C’est une Organisation Non Gouvernementale, indépendante qui s’efforce de combattre le cancer, première
cause de mortalité en France.
Ses missions l’engagent sur tous les fronts :
- Chercher pour guérir : 1er financeur non-gouvernemental de la recherche en cancérologie
- Accompagner pour aider : améliorer la qualité de vie des personnes malades et de leurs proches
- Prévenir pour protéger : informer, sensibiliser, prévenir pour lutter efficacement contre le cancer
- Société et politiques de santé : changer les mentalités face au cancer.
Ces 4 axes permettent de prendre en compte l’intégralité des besoins de la lutte contre le cancer, et leur association est la garantie d’une réelle efficacité dans cette lutte.
A voir aussi
Notre soutien à la recherche : la recherche nationale contre le cancer est menée, pour moitié, en Ile-de-France. Ainsi en 2023, sur les 91 équipes labellisées par la Ligue (soutien de 5 ans pour les équipes d’excellence), 38 sont situées en Ile-de-France. De même, les 52 doctorants franciliens représentent 30% des futurs et jeunes chercheurs financés par la Ligue sur tout le territoire. »
Nos actions pour les malades et leurs proches : de nombreux services gratuits pour les malades et leurs proches afin d’améliorer leur quotidien (aides financières, aide au retour à domicile, groupes de parole, chorale, coaching d’aide au retour à l’emploi, séjours de vacances pour les jeunes malades, dispositif post-cancer, accompagnement du parcours de soins en cancérologie, socio-esthétique, plongée….)
Nos actions de prévention et de promotion des dépistages : sensibiliser le public aux principaux facteurs de risque et aux bonnes attitudes de prévention.
Nos actions de plaidoyer : au sein de la Ligue contre le cancer, s’engage pour conduire des actions, faire pression sur les autorités publiques, infléchir les orientations législatives et sanitaires, et qu’ainsi soient mieux pris en compte les besoins des personnes malades.
