Le travail commun avait été amorcé en 2013. Les attentats du 13 Novembre l'ont accéléré à vitesse grand V. Alors que 20 blessés — 11 en hôpital de jour, 9 à plein-temps — sont encore hospitalisés un an après le drame et que 600 personnes sont toujours suivies psychologiquement, les professionnels de santé n'ont cessé de travailler cette année pour adapter la médecine d'urgence à la prise en charge de victimes d'attentats de masse.