Effet du beSoin Urinaire sur l’équilibRe chez la Femme âgée non neurologique : comparaison à une tâche de chArge CognitivE

À propos

Cette recherche porte sur l’évaluation de l’effet de la forte envie d’uriner sur l’équilibre chez les femmes de plus de 65 ans, sans maladie neurologique, se plaignant d’une hyperactivité vésicale (envies urgentes d’uriner accompagnées ou non d’envies fréquentes d’uriner le jour et la nuit) avec ou sans incontinence urinaire (fuites d’urine). En effet, les problèmes urinaires et en particulier la forte envie d’uriner pourraient engendrer une diminution de l’attention du sujet (source de distraction). Cela pourrait modifier, négativement, l’équilibre et entrainer un risque de chutes. Si nous mettons en évidence un lien entre le besoin d’uriner et la modification de l’équilibre, cela nous permettrait d’avoir une meilleure stratégie de prévention des chutes. En dépistant les problèmes urinaires et en les prenant en charge, il pourrait être possible de diminuer le risque de chutes. Cette recherche porte sur l’évaluation de l’effet de la forte envie d’uriner sur l’équilibre chez les femmes de plus de 65 ans, sans maladie neurologique, se plaignant d’une hyperactivité vésicale (envies urgentes d’uriner accompagnées ou non d’envies fréquentes d’uriner le jour et la nuit) avec ou sans incontinence urinaire (fuites d’urine). En effet, les problèmes urinaires et en particulier la forte envie d’uriner pourraient engendrer une diminution de l’attention du sujet (source de distraction). Cela pourrait modifier, négativement, l’équilibre et entrainer un risque de chutes. Si nous mettons en évidence un lien entre le besoin d’uriner et la modification de l’équilibre, cela nous permettrait d’avoir une meilleure stratégie de prévention des chutes. En dépistant les problèmes urinaires et en les prenant en charge, il pourrait être possible de diminuer le risque de chutes. Il s’agit d’une étude observationnelle, prospective réalisée lors d’une évaluation en Hôpital de jour, évaluation faite dans le soin courant. Pour répondre à la question posée dans la recherche, il est prévu d’inclure 20 personnes présentant une hyperactivité vésicale avec ou sans incontinence, dans un établissement de soins (Hôpital Rothschild, Paris 12e).