A côté des dépressions avérées, qui toucheraient 12% des adolescents, environ 20% des jeunes pourraient présenter des dépressions dites subcliniques ou subsyndromiques, c’est-à-dire qui ne présentent pas de symptômes visibles. Or, à cet âge, il existe de nombreux remaniements de zones cérébrales telles que dans le cortex cérébral ou la substance blanche. Des équipes de recherche du service de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière AP-HP, de l’Inserm, de l’Université Paris Descartes et de l’Université Paris-Sud se sont penchées sur cette question.
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