Dans une étude publiée ce vendredi 12 juillet 2019 dans la revue « Science », des chercheurs français ont identifié un nouveau mécanisme cellulaire qui altère la formation du placenta lors de certaines grossesses pathologiques (infections congénitales, virales, génétiques ou auto-immunes). Un développement anormal du placenta, qui peut par conséquent provoquer des complications obstétricales graves comme des fausses couches ou des retards de croissance intra-utérine.
Dans cette étude, des équipes de l’Institut Pasteur, du CNRS, de l’Inserm, de l’hôpital Necker-Enfants malades (AP-HP) et de l’Université de Paris, montre que l’interféron est responsable d’anomalie du placenta et qu’il agit en empêchant la formation du syncytiotrophoblaste, couche externe du placenta.
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