Aides-soignants, kinés, assistants sociaux hospitaliers, brancardiers... au quotidien, ce sont eux qui accompagnent les patients. Au-delà des actes techniques, ces gestes et ces attentions sont salutaires. Dans les couloirs de l’hôpital Cochin, établissement de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris, cette relation humaine difficile à saisir a un nom : on l’appelle le «soin fantôme».
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