Les femmes enceintes considérées comme à risque que leur enfant soit porteur de la trisomie 21 après un dépistage réalisé au 1er trimestre doivent ensuite réaliser une amniocentèse. C'est pour limiter le recours à cet examen invasif que des médecins de l'AP-HP testent la viabilité d'une autre technique basée sur l'ADN libre circulant du fœtus, qui pourrait permettre un dépistage plus fiable par une simple prise de sang maternel.
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