Issues d'une collaboration internationale, pilotée par des chercheurs de l’Inserm et enseignants-chercheurs d’Université de Paris et médecins de l’AP-HP au laboratoire de génétique humaine des maladies infectieuses, deux études publiées ce jeudi dans la revue Science Immunology démontrent qu'un quart des formes sévères du virus s'expliquent par une anomalie génétique ou immunologique.
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