Du qi gong sur les pelouses, des huiles essentielles dans les couloirs et des « coupeurs de feu » au bout du fil : à l’hôpital, temple de la biomédecine, les médecines non conventionnelles sont présentes, avec plus ou moins de discrétion, à tous les étages. Ces soins « alternatifs », peu ou pas reconnus par les autorités de santé, mais qui font leurs preuves dans la pratique, entrent par la petite porte.
« C’est amusant, constate Alain Baumelou, néphrologue à l’hôpital de la Salpêtrière à Paris, si vous cherchez un acupuncteur dans le registre de l’hôpital, rien. Par contre, plusieurs médecins le pratiquent dans différents services. »
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