Lorsque le cœur ne repart pas 30 minutes après un arrêt cardiaque, malgré une prise en charge médicale classique, on parle d’arrêt cardiaque réfractaire.Les victimes ne sont alors qu’entre 5 et 10 % à survivre, et les séquelles neurologiques peuvent être importantes. Tout est une question de temps. Et puisque le protocole standard ne donne pas de résultats satisfaisants en matière de survie, le SAMU de Paris, en collaboration avec l’AP-HP et l’Inserm, a décidé de tester une procédure plus agressive : la circulation extracorporelle en dehors de l’hôpital. Le SAMU dispose aujourd’hui de matériel permettant de la mettre en place dans ses ambulances.
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