Dans la nuit de vendredi à samedi, les hôpitaux ont dû opérer simultanément un grand nombre de patients, alors qu’il n’y a pas d’activité chirurgicale orthopédique programmée la nuit et qu’il n’y en normalement pas ou peu le week-end, dans des circonstances normales.
La solidarité entre les hôpitaux d’une part, la présence des pharmaciens responsables de la stérilisation pendant la nuit et de l’ensemble des professionnels revenus dans le cadre du plan blanc ou spontanément ont permis de faire face à cette situation exceptionnelle, y compris sur le plan du matériel . Les hôpitaux n’ont donc pas été à court de matériel. C’est la force d’un très grand groupe hospitalier de pouvoir faire face, y compris sous la pression extrême des événements dramatiques, à un afflux aussi considérable de blessés graves.
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