Si l’AP-HP, en réponse à une question, a indiqué que des premières déprogrammations pouvaient intervenir dans les jours qui viennent, au regard tant de la dynamique de l’évolution épidémique que de l’importance de l’activité urgente, elle a bien précisé qu’il s’agissait, à ce stade, de décisions prises au cas par cas, ou service par service mais pas d’une organisation d’une déprogrammation globale, comme elle a été décidée à la mi-mars.
Elle a indiqué qu’elle avait un certain type d’organisation en deçà de 20 % de déprogrammation, qui est la situation actuelle, pas qu’elle était conduite à lancer une déprogrammation de 20 % des interventions chirurgicales.